Contrairement à ce que j’affirmais dans le message précédent, l’effet est nettement meilleur si je fais déborder hors cadre de chaque côté du dessin le groupe d’anges trompettistes, ce qui implique un nombre indéterminé, et beaucoup plus élevé, de figurantes.
En regardant l’image, je crois presque entendre la musique. Mais quelle musique ? Kafka dans le roman parle d’une totale cacophonie. Pour ma part, je me plais à imaginer plutôt du Gustav Malher, plus précisément la Symphonie #2, dite «Résurrection», où les cuivres dans certains passages du 5e mouvement suggèrent les trompettes du Jugement dernier.
samedi 21 janvier 2012
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