
Afin de donner à l’édifice des dimensions plus importantes sans avoir à le redessiner, j’ai d’abord encré le dessin tel quel, pour ensuite le trafiquer sur Photoshop, en recomposant et en modifiant l’échelle relative des différents éléments, tout en préservant la perspective. Ça n’a pas été sans mal, mais je crois que ça fonctionne. Ce n’est pas le stade Olympique, mais on a quand même ici un hippodrome de belle taille.
Sur l’enseigne au premier plan, on aura peut-être noté la position invraisemblable des deux chevaux galopant. Avant l’expérience photographique de Muybridge (1878), les artistes les représentaient ainsi, les quatre pattes étendues. Muybridge a démontré que c’était impossible. Je les ai quand même dessinés de cette façon, puisqu’il s’agit d’une vieille enseigne.

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