dimanche 13 juin 2010

Un charme indéfinissable

Un joli portrait de la Brunelda, telle qu’elle apparaît lorsqu’elle fait la rencontre de Delamarche et Robinson. Une pouffiasse, mais avec de la classe, de l’élégance. Elle correspond un peu aux canons de beauté féminine dans les images du XVIIe siècle. C’est ce qui la rend intéressante à dessiner. Je lui trouverais même un certain charme. Ça provient sans doute d’une fascination pour les chanteuses d’opéra ...

On le verra dans la suite du récit, Brunelda est un personnage romantique. Pathétique même, dans les deux sens du terme.

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