Pourchassé par la police, Karl n’a d’autre choix que de se réfugier dans l’appartement de Brunelda, où il se retrouve à toutes fins pratiques prisonnier. Pendant que Delamarche donne son bain à Brunelda, Karl et Robinson se voient forcés d’attendre sur le balcon que les maîtres daignent les laisser rentrer. Juchés au septième étage, sans issue possible, ils y passent presque la journée entière. Toujours plaignard, Robinson parle à Karl de sa vie de chien. J’ai pensé illustrer ses propos en lui faisant subir, le temps d’une case, une petite métamorphose.
Dans mon message du 19 janvier, Métaphores canines, j’évoquais 19 possibilités différentes pour la case en question. Voici la version retenue, sous sa forme finale. On remarquera la rampe métallique du balcon qui suggère subtilement les barreaux d’une prison.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire