dimanche 24 juillet 2011

Un bon boss

Exilé en Amérique, sans famille, sans argent, sans ressources, sans logement, sans papiers, sans existence légale, pourchassé par la police, forcé de trouver refuge dans un taudis, traité comme un esclave par ses occupants – une crapule, une diva insupportable et un ivrogne pleurnichard –, Karl Rossmann s’endort en rêvant du jour où il aura enfin une situation (ou, comme dirait l’autre, une job steady pis un bon boss), en se promettant bien de devenir un employé modèle.


Cette case est la toute dernière du chapitre VII, commencé il y a presque deux ans. Il était temps. Plus que deux chapitres à dessiner, pas aussi longs heureusement.

2 commentaires:

  1. Vous estimé combien d'heure de travaille encore avant la fin? La dernière fois que je vous ai vu, c'était 200 heures encore. La sortie est prévu pour quant?

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  2. J'ai dû parler alors de 2000 heures, sûrement pas 200. Maintenant, à vue de nez, ce serait environ 800, si tout va bien. Pour la sortie, on verra, il n'y a encore rien de fixé.

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